Par cette attitude de « déni », « ils s’interdisent le pardon à eux-mêmes, mais aussi de recevoir celui des victimes », abonde Me Olivia Chalus. « Ce procès aura permis de faire la lumière sur comment ce crime a été commis, mais il laissera en suspens la question du pourquoi », laissant les victimes « seules face à leurs questionnements », déplore encore Me Claudette Eleini.